Közmondások franciául és magyarul
A beau mentir qui vient de loin. – Messziről jött ember azt mond, amit akar.
A cheval donné on ne regarde pas les dents. – Ajándék lónak ne nézd a fogát.
A l’impossible nul n’est tenu. – Senkitől sem lehet lehetetlent elvárni.
A père avare, fils prodigue. – Fukar apának tékozló fia.
A quelque chose malheur est bon. – Minden rosszban van valami jó.
Abondance de biens ne nuit pas. – A jóból sosem árt a sok.
Aide-toi, le ciel t’aidera. – Segíts magadon, az Isten is megsegít.
Après la pluie, le beau temps. – Borúra derű.
Autant en emporte le vent. – Elfújta a szél.
Autres temps, autres moeurs. – Változnak az idők.
Beaucoup de bruit pour rien. – Sok hűhó semmiért.
Bien mal acquis ne profite jamais. – Ebül szerzett jószág ebül vész el.
C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. – Ezzel betelt a pohár.
C’est la paille et la poutre. – Bagoly mondja verébnek, hogy nagyfejű.
Ce qui est fait n’est plus à faire. – Amit ma megtehetsz, ne halaszd holnapra.
Chaque chose en son temps. – Mindent a maga idejében.
Chose promise, chose due. – Ígéret szép szó, ha megtartják, úgy jó.
Comme on fait son lit, on se couche. – Ki mint veti ágyát, úgy alussza álmát.
Deux avis valent mieux qu’un. – Több szem többet lát.
Faire d’une pierre deux coups. / Faire coup double. – Két legyet üt egy csapásra.
Faute de grives, on mange des merles. – Jobb ma egy veréb, mint holnap egy túzok.
Il faut battre le fer pendant qu’il est chaud. – Addig üsd a vasat, amíg meleg.
Il n’y a pas de fumée sans feu. – Nem zörög a haraszt, ha nem fújja a szél.
Il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. – Ne igyál előre a medve bőrére! / Nyugtával dicsérd a napot!
Il y a un temps pour tout. – Mindennek megvan a maga ideje.
Impossible n’est pas français. – Olyan nincs, hogy lehetetlen.
L’appétit vient en mangeant. – Evés közben jön meg az étvágy.
L’argent n’a pas d’odeur. – A pénznek nincs szaga.
L’argent ne fait pas le bonheur. – A pénz nem boldogít.
L’exception confirme la règle. – Kivétel erősíti a szabályt.
L’habit ne fait pas le moine. – Nem a ruha teszi az embert.
L’habitude est une seconde nature. – A szokás nagy úr.
L’occasion fait le larron. – Alkalom szüli a tolvajt.
La fin justifie les moyens. – Cél szentesíti az eszközt.
La fortune sourit aux audacieux. – Bátraké a szerencse.
La nuit porte conseil. – Aludjunk rá egyet.
La parole est d’argent et le silence d’or. – Hallgatni arany.
Le chat parti, les souris dansent. – Nincs otthon a macska, cincognak az egerek.
Le temps, c’est de l’argent. – Az idő pénz.
Les murs ont des oreilles. – A falnak is füle van.
Les paroles s’envolent, les écrits restent. – A szó elszáll, az írás megmarad.
Mieux vaut tard que jamais. – Jobb későn, mint soha.
Oeil pour oeil, dent pourt dent. – Szemet szemért, fogat fogért.
On récolte ce qu’on a semé. – Amint vetsz, úgy aratsz.
Quand les poules auront des dents. – Majd ha fagy.
Qui a bu, boira. – Kutyából nem lesz szalonna.
Qui ne risque rien, n’a rien. – Aki mer, az nyer.
Qui sème le vent, récolte la têmpete. – Ki szelet vet, vihart arat.
Qui se ressemble, s’assemble. – Megtalálja zsák a foltját.
Qui se sent morveux, se mouche. – Akinek nem inge, ne vegye magára.
Qui terre a, guerre a. – A pénz bajjal jár.
Qui trop embrasse, mal étreint. – Ki sokat markol, keveset fog.
Qui veut voyager loin ménage sa monture. – Lassan járj, tovább érsz.
Rira bien qui rira le dernier. – Az nevet, aki utoljára nevet.
Souris qui n’a qu’un trou est bientôt prise. – Jobb félni, mint megijedni.
Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse. – Addig jár a korsó a kútra, amíg el nem törik.
Tel est pris qui croyait prendre. / Tel qui creuse une fosse à un autre y tombe souvent lui-même. – Aki másnak vermet ás, maga esik bele.
Tel père, tel fils. – Nem esik messze az alma a fájától.
Tout ce qui brille n’est pas or. – Nem minden arany, ami fénylik.
Tout est bien qui finit bien. – Minden jó, ha a vége jó.
Tout vient à point à qui sait attendre. – Türelem rózsát terem.
Un malheur ne vient jamais seul. – A baj nem jár egyedül.
Une hirondelle ne fait pas le printemps. – Egy fecske nem csinál nyarat.
Vouloir, c’est pouvoir. – Aki akar, az tud is.
Celui qui se lève tôt trouve de l'or. / Le monde appartient à ceux qui se lève tôt. – Ki korán kel aranyat lel.
Source : Le petit Larousse