La nouvelle fin juin était que le Royaume-Uni avait annoncé qu'il boycotterait un événement de l'ONU à Durham en septembre, mais à New York, "citant l'antisémitisme passé" . La conférence est également boycottée par les États-Unis, le Canada, l'Australie et au sein de l'UE, le boycott a d'abord été annoncé par la Hongrie, suivie par l'Autriche, les Pays-Bas et la République tchèque.

Mais de quoi parle la conférence de Durban et pourquoi certains pays restent-ils à l'écart ? 

Un forum pour l'antisémitisme

La conférence originale, que l'événement actuel cherche à commémorer, s'est tenue en 2001 à Durban, en Afrique du Sud. Le titre officiel de l'événement de l' ONU à l'époque était la Conférence mondiale contre le racisme, mais contrairement à son objectif déclaré, il est devenu principalement un forum d'accusations contre Israël par les dictateurs du tiers monde, et la déclaration adoptée était fortement discriminatoire à l'encontre de l'État juif.

En préparation de la conférence de 2001, les États membres asiatiques ont tenu une réunion préliminaire à Téhéran, en Iran, en février 2001. Ici, une déclaration a été adoptée dans laquelle il montrait que

Israël commet un « nouvel apartheid » , « des crimes contre l'humanité » et qu'il s'agit d' une « sorte de génocide » contre sa population arabe.

Lors de la conférence, des dirigeants du tiers-monde ont attaqué Israël, comme Yasser Arafat, qui a dit qu'Israël était « raciste », et le dictateur cubain Fidel Castro, qui a parlé de « l' horrible génocide » qu'Israël commettait contre les Palestiniens. L'objectif affiché de l'événement en cours, 2021, est d'aider à « mettre en œuvre » les points de la déclaration adoptée en 2001 .

Critique européenne

Le gouvernement britannique a confirmé fin juin qu'il n'assisterait pas à la conférence en rejoignant les États-Unis et Israël. La conférence internationale a été surnommée le « Festival de la haine juive », affirmant qu'elle promeut l'antisémitisme. 

L'intervention du Conseil des Députés, du Conseil exécutif juif et des Amis conservateurs d'Israël aient écrit une lettre au minu au minret a British Minister des Affaires étrangères Dominic Raab exhortant les responsables britanniques à ne pas assister au proch lors d'un événement appelé.

Le Jerusalem Post a rapporté presque simultanément que la Hongrie a annoncé l'absence du festival comme le premier Etat membre de l'UE. Le journal israélien a cité le ministre des Affaires étrangères Péter Szijjártó disant dans une lettre à Mark Weitzman, l'un des chefs du Centre Simon Wiesenthal, les raisons de la décision de boycott.

Le gouvernement hongrois a déclaré une tolérance zéro pour l'antisémitisme,

et est déterminé à garantir la sécurité du peuple juif - nous le représentons également de manière constante dans les forums internationaux », a écrit Szijjártó. Au nom de la République de Hongrie, l'Assemblée générale des Nations Unies est approuvée au nom de l'Assemblée générale des Nations Unies.

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